Sans langue de bois, Dr. Ibrahima Sory Diallo, estile que le rapport ne reproche pas grand-chose au parti ADC-BOC et le loge dans la même enseigne que les cadors comme l’UFDG, l’UFR, etc. Ce qui revient à dire que l’UFDG n’est pas plus que ADC-BOC, vice-versa.
« On ne nous reproche pratiquement pas beaucoup de choses. Tout simplement il faut rappeler, ils nous ont signalé qu’au niveau de la comptabilité de notre parti, qu’il y avait des manquements parce qu’on n’a pas présenté les rapports. Ils ont estimé qu’on n’a pas fait des rapports périodiques au ministère. Rappelons que cette disposition, on n’est pas du tout engagé à présenter des rapports financiers à quelqu’un qui ne nous finance pas. Donc lorsque vous savez lors d’une élection, vous-mêmes vous investissez avec vos militants, vous êtes censés partir à l’élection. Sinon, il y a la subvention des partis politiques qu’ils ont eux-mêmes signalé dans la salle, dont on n’a jamais bénéficié. Donc si tu veux demander le compte financier à quelqu’un, il faut d’abord remplir ton devoir de ton côté. Mais qu’à cela ne tienne, ils ont encore demandé, c’est-à-dire la liste des donateurs. Mais nous n’avons pas de donateurs, ce sont les membres du parti qui donnent. (…),a-t-il déclaré.
Et de poursuivre en ces termes : « On ne peut pas dire qu’on est bon élève que l’UFDG, mais l’UFDG n’est pas plus que nous parce qu’on est dans le même lot d’observation. Tout ce qu’il faut rappeler, chaque parti a des problèmes. Les nôtres sont liés aux finances qu’il faut vraiment corriger, sinon tout le reste est bon », a dit Dr Ibrahima Sory Diallo.
Dans les jours à venir, l3 Preside nt du parti ADC-BOC s’engage à remplir tous les critères pouvant lui permettre être dans les normes,comme recommande les autorités de la transition guinéenne.
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