Umaro Sissoco Embalo invoque le fait que, selon lui, et après avis de sa femme Dinisia Reis Embalo, il ne servait à rien de s’engager à nouveau dans un combat politique avec des homologues qui, de son point de vue, ne sont pas d’un niveau suffisant.
Le président Embalo précise qu’il ira jusqu’au bout de son actuel mandat avant la prochaine élection présidentielle de 2025 en soulignant que le futur chef d’État devra faire preuve d’une plus grande honnêteté et d’un plus grand sérieux que la classe politique actuelle.
Une pierre dans le jardin de ses principaux opposants, au premier rang desquels le président du Parlement dissous : Domingos Simoes Pereira, dont Embalo nie toute capacité à diriger le pays.
Avec rfi