Il a été question pour Mme Camara Djenab Touré, Durectrice Nationale des Affaires Politiques et de l’Administration Électorale, celle-ci intervient après plusieurs heures d’échanges.
« Il est de notre devoir à chaque fois que nous travaillons, de faire un compte-rendu aux acteurs et à toutes les parties prenantes. Nous pensons que la presse est donc une partie prenante, comme on le dit souvent, le 4e pouvoir du pays, mais également les plate-formes de la société civile. Parce qu’elles ont beaucoup d’éléments et travaillent beaucoup sur le terrain avec les citoyens directement. Donc, il faut leur donner la bonne information », dit-elle.
Moussa Iboun Conté, représentant du Conseil National des Organisations de la Cociété Civile de Guinée, (CNOSG).
« Je salue d’abord la démarche méthodologique, elle est scientifique et elle n’est dirigée contre personne. Donc, je salue l’objectivité de cette démarche méthodologique. Il faut reconnaître que le travail a été bien fait. Cela devrait permettre les partis politiques qui ont été évalués de se remettre en cause en qualifiant leur travail. Parce que ceux qui prétendent diriger notre pays, il faut qu’ils soient des références. Donc, il faut qu’ils soient en règle vis-à-vis du cadre juridique et constitutionnel de notre pays », a fait comprendre M. Conté.